Dernière mise à jour 11 Juillet, 2015 pour Alberto Llopís
Il y avait un 11 de julio de 2010. Poca gente en España habrá olvidado aquel domingo de hace cinco años cuando el sueño de muchas generaciones de españoles aficionados y no tan aficionados al fútbol, se cumplió. Aquella noche veraniega en España pero fresca en Johannesburgo, siempre quedará para la historia sobretodo tras aquel gol de Iniesta cuando la prórroga ya agonizaba y el partido se veía abocado a los penaltis.
El tiempo pasa volando y hoy, 11 de julio de 2014, parece que todo hubiera pasado ayer pero prácticamente ha cambiado casi todo sobretodo en la selección. De la gloria del Soccer City al ridículo de Brasil 2014 pasaron cuatro años, una exitosa Eurocopa y una no tanto Copa Confederaciones de por medio, même si pour Del Bosque le temps semblait s'arrêter et il faisait confiance aux hommes qui lui avaient donné tant de gloire dans 2010 sans se rendre compte que dans 2014 les choses avaient beaucoup changé. C'est normal, le temps ne passe pour personne.
Mais notre objectif, c'est pour se souvenir de cette nuit où l'Espagne s'est tenue en finale d'une Coupe du monde pour la première fois de son histoire pour la gagner. Une Coupe du monde qui n'a pas été facile, qu'ils ont même commencé par perdre le premier match contre la Suisse et ont presque miraculeusement traversé le tour après avoir battu le Honduras et le Chili avec beaucoup de mal. Un parcours qui s'est compliqué avec le Portugal de Cristiano, le Paraguay de Tata Martino et une Allemagne toujours présente en demi-finale.
L'Espagne a vaincu les trois rivaux, remportant les trois matchs par le minimum, tirant presque héroïquement pour y parvenir. Enfin, leur rival en finale était un Pays-Bas qui affrontait une finale de Coupe du monde pour la troisième fois de son histoire.. Le jeu était tendu, rester, surtout par les Hollandais qui distribuaient en toute impunité sous le regard d'Howard Webb, l'arbitre anglais qui apparaît toujours dans tous les grands matchs. Como no, tout le monde se souvient du coup de pied presque criminel de De Jong à la poitrine de Xavi Alonso qui aurait dû laisser les Pays-Bas avec un de moins.
Como no, Nous ne pouvions pas non plus oublier la figure d'Iker Casillas. Le gardien madrilène, aujourd'hui dans l'oeil du cyclone et très loin d'être qui il était et à qui Del Bosque a rendu un mauvais service en insistant sur sa présence dans le but, surtout après avoir été remplaçant pendant un an et demi au Real Madrid avec deux entraîneurs différents, a sauvé l'équipe espagnole avant qu'Iniesta ne marque le but le plus important de l'histoire du football espagnol.
Dans un heads-up très clair par Arjen Robben, Iker, il a sauvé ce qui était le but gagnant et peut-être celui qui aurait donné la coupe du monde au pays des tulipes. Robben a d'ailleurs eu sa revanche quatre ans plus tard bien qu'il ait vu le résultat final , seguro que todo el mundo en España se queda con la victoria de 2010. Finalmente el partido se vio abocado a la prórroga y cuando todo el mundo ya se preparaba para los penaltis llegó la jugada decisiva.
Cesc Fabregas, se inventó un pase magistral desde la frontal para Iniesta que engatilló al portero holandés ante la locura colectiva de comentaristas de televisión, radio y por supuesto aficionados españoles dentro del Soccer City y sobretodo en España. Seguro que tú, que estás leyendo este artículo, si eres español, recuerdas como lo celebraste ese día. en Colgados, nos gustaría que nos lo contáses.