Dernière mise à jour 15 Février, 2014 pour Alberto Llopís
L'Eibar Sports Society avance d'un pas ferme vers la première division. L'équipe d'armurier est chef de la deuxième division avec 42 points dans 25 jours et marches de moins en plus vers ce qui semble impossible: le désir de la plus haute catégorie de football espagnol. Abrité dans la forteresse d'Ipurúa, l'ensemble de Gaizka Garitano profite de son pouvoir en tant que local où il a ajouté sept victoires et n'a concédé que neuf buts.
Une bonne tâche qui place l'équipe du Barça aux portes d'un événement historique. Parce que faire grimper le machado briserait plusieurs records de football espagnol d'un seul coup: entre eux, celle d'être la plus petite population qu'une équipe de première division ait jamais eue. Los 27.000 habitants d'Éibar (a un accent en espagnol) dépasserait 34.000 d'Almendralejo, Los 61.000 Irun ou 50.000 Villarreal comme d'autres petites municipalités qui avaient également des photos dans l'élite du football espagnol.
L'équipe avec les années les plus consécutives en deuxième division (18 cloches) représente le football modeste par excellence. Loin du luxe des footballeurs de Primera, ses joueurs sont généralement des gens de football modeste ou des jeunes qui utilisent l'équipe pour se faire expulser et servir de banc d'essai pour l'Athletic Bilbao, club qu'il a nourri avec pas peu de joueurs. Et c'est que même si cela semble être un mensonge, si la Éibar Sports Society a fait quelque chose, c'est pour relancer les joueurs. Des noms comme Almunia ont traversé ses rangs, par iraiz, Admet le, Oisiveté, décharge, Karmon, Luis Prieto, manel, Rivera, Jankovic, Jon Cortina, Karabeg, Lédiakov, Première classe, moisés, Olano, Txefe Warrior, Oncle Mateo, Loina, Joseba Llorente, Mario Bermejo, pizo Gómez, Toño ou Gaizka Toquero, David Silva et Xabi Alonso, comme les cas les plus notables de la dernière 15 années.
Impressionnant bouquet de noms auquel il faut maintenant ajouter le prêt de Levante José Luis Morales (élu meilleur joueur de décembre dans la ligue BBVA), Urko Vera ou Jota Peleteiro, le crack des médias dont la romance avec Jessica Bueno (ex de Paquirrin) a attiré les yeux de nombreuses caméras Ipurúa. Des caméras qui savent si l'an prochain elles ne seront pas témoins du Real Madrid ou de Barcelone.